— Retour
5 mai 2010
Le problème de la qualité du français a d’abord été abordé à propos du test de français pour les non-francophones. Le doyen Paul Cadrin (Musique) espère qu’il ne découragera pas des candidatures étrangères qui auraient un faible résultat à ce test. Des échanges de vue ont insisté sur le fait que l’Université Laval devait faire preuve de souplesse dans son administration, particulièrement parce qu’elle se veut de plus en plus une université internationale.
Le professeur Alain Laberge (Lettres) a souhaité plus d’appui dans cette démarche auprès du corps professoral, déplorant que certains écrits étaient d’une telle faiblesse en français qu’il préférerait «les lire en anglais.»